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La théorie quantique

au niveau de la biocommunication

Dernière mise à jour : 2023-05-09

 

 

La physique classique fut créée par Isaac Newton et autres, à la fin du XVIIe siècle. Ces pionniers scientifiques firent un excellent travail en décrivant le mode de fonctionnement du monde selon des lois fixes qui expliquent tout, depuis les pommes tombant des arbres jusqu’au mouvement des galaxies dans l’espace. Les unités structurelles fondamentales de cet univers mécaniste appelées atomes étaient perçues comme des boules denses de matière. Puis avec le temps, les appareils de mesure se sophistiquant, il devint évident que les atomes n’étaient pas des objets solides, mais qu’ils étaient, en fait, de petits systèmes solaires avec des électrons en orbite autour d’un noyau. Presque tout le monde a appris ceci à l’école, mais en réalité, si on observe un atome, on découvre que ce petit système solaire se compose presque exclusivement d’... ESPACE VIDE (tout comme notre système solaire, d'ailleurs).

 

Les atomes composant tout dans notre univers ne possèdent qu’une infime masse ; ils sont vides à 99,999999%. 

 

Si les atomes d’une fleur n’ont pas de masse, alors, pourquoi est-elle si belle ? Cela est dû aux informations que contient l’énergie dans les atomes, codifiées dans leurs vibrations. Lorsque vous regardez une fleur (ou quoi que ce soit d’autre), ce que vous regardez réellement c’est l’espace vide de ses atomes. Cependant, votre cerveau peut interpréter l’information qui se trouve dans les atomes de la fleur, pour ensuite « vous les montrer » sous une forme physique. La fleur est faite d’espace « vide », mais l’information codifiée dans cet espace est interprétée par votre cerveau comme la beauté que vous pouvez voir.

 

Au niveau quantique, tout est énergie, et que c’est notre perception, notre conscience qui convertit cette énergie en réalité physique. Cela signifie que nous avons le pouvoir de transformer nos vies en utilisant notre conscience pour « changer l’énergie ». Notre capacité pour ce faire, nous vient par le biais de nos pensées et nos sentiments, qui créent des vibrations affectant notre expérience de la réalité.

 

 

L’échange d’information :

 

 

Selon Faraday, l’aspect le plus important de l’énergie n’était pas sa source, mais l’espace l’entourant, ainsi que l’influence de l’énergie sur l’espace. Le champ est donc un médium qui relie deux points ou plus dans l’espace, habituellement par le biais d’une certaine force, telle que l’électromagnétisme ou la gravité. Une telle force est en général représentée par des ondulations, ou ondes, dans le champ.

 

A l’instar des rides d’un étang, les ondes du plan subatomique sont représentées par des oscillations périodiques se déplaçant à travers un médium, dans ce cas le champ énergétique quantique.

 

L’amplitude (l'intensité) d’une onde correspond à la moitié de la hauteur de la courbe de la crête au creux.

 

La longueur d’une onde (ou cycle) est constituée d’une oscillation complète, égale à la distance entre 2 crêtes ou 2 creux adjacents.

 

La fréquence est le nombre de cycles par seconde, exprimée en Hertz (Hz).

 

Une phase est le point où se situe l’onde dans son périple oscillatoire. Deux ondes sont « en phase » lorsqu’elles sont toutes deux en même temps en crête ou en creux, même si leurs fréquences ou amplitudes sont différentes.

 

---> Plus la longueur d'onde est grande, plus la fréquence est faible. Le produit de la longueur d'onde et de la fréquence est constant et égal à la vitesse de la lumière.

 

 

Un des aspects les plus importants concernant les ondes est qu’elles sont codeuses et porteuses d’information. Lorsque 2 ondes sont en phase et se chevauchent (= interfèrent), l’amplitude combinée des 2 ondes est plus grande que leur amplitude respective. Ce qui se traduit dans une amplification du signal, pouvant échanger de l’information. Cependant, si une onde est en crête et l’autre est en creux, elles ont tendance à s’annuler mutuellement.

 

Après une collision de 2 ondes, chaque onde contient l’information sur l’autre onde, sous la forme d’une énergie encodée, incluant toute information contenue par cette dernière. Le modèle d’interférence correspond donc à une accumulation constante d’information, et les ondes possèdent une capacité d’accumulation quasi inépuisable. Le champ énergétique quantique, comme porteur de toutes les longueurs d’onde et fréquences, est en soi une espèce d’image miroir et un enregistrement de tout ce qui existe et de tout ce qui a existé.

 

 

L’organisation de la communication:

 

 

Tout corps physique émet des rayons électromagnétiques en permanence et de l'intérieur, car les atomes et les molécules qui composent un objet vibrent en permanence. Tous les êtres vivants sont donc constitués de paquets d’énergie quantique qui échangent de l’information avec ce champ d’énergie inépuisable. De plus, les êtres vivants émettent une faible radiation : les informations sur tous les aspects de la vie (de la communication cellulaire aux divers processus de contrôles de l’ADN) sont transmises par un échange d’information au niveau quantique.

 

Dans notre organisme, les cellules communiquent et échangent de l’information par ondes électromagnétiques. La lumière du soleil, une onde électromagnétique, absorbée par les plantes est ingérée par l’organisme pendant la digestion comme photons (ondes de lumière). L’énergie de ces photons est ensuite dissipée et distribuée dans tout le spectre des fréquences électromagnétiques. L’ADN est un des plus importants lieux de stockage de lumière et une des plus importantes sources d’émissions de photons. Ces émissions se font à faible intensité, étant donné que la communication s’effectue à un niveau quantique. Ces émissions de lumière sont suffisantes pour orchestrer le corps. Les photons mettent en activation, d’une façon cohérente (ensemble), les processus du corps, comme un chef d’orchestre fait intervenir chaque instrument séparé dans l’accord musical produit par l’ensemble des musiciens, de son orchestre.

 

En physique quantique, les particules subatomiques sont aptes à coopérer, à agir ensemble. On parle d’une cohérence quantique. Ces particules ou ondes subatomiques savent non seulement que les autres ondes sont là, mais elles sont également fortement liées par des bandes de champs électromagnétiques communs offrant la possibilité de communiquer entre eux. Lorsque ces ondes entrent en phase (pulsation synchrone), elles se mettent à agir comme une seule onde. Nombre des effets quantiques bizarres observés dans une onde isolée s’appliquent également à l’ensemble. Si on atteint l'une d'entre elles, toutes les ondes sont affectées. C’est par cette cohérence que la communication peut s’établir.

 

L’ADN possède la capacité d’émettre un grand éventail de fréquences et les photons émis remplissent d’autres fonctions au niveau d'autres fréquences . L’ADN est responsable du déroulement synchrone de tous les processus cellulaires : chaque cellule est, simultanément avec toutes les autres cellules,  le siège en moyenne de milliards de réactions chimiques par seconde. L’ADN réussit d’une façon ou d’une autre à construire l’organisme et à générer toutes ses activités dynamiques simplement en activant et désactivant certains de ses segments (gènes), dont les nucléotides sélectionnent des molécules d’ARN qui, à leur tour, fabriquent des protéines spécifiques qui amorcent ou désamorcent les processus chimiques. La coordination de la communication entre cellules ne peut se produire que dans un système holistique avec un seul dirigeant central, utilisant un système de rétroaction pour une communication parfaite grâce à des ondes qui encodent et transfèrent l’information. La communication par ondes peut être réalisée par la façon dont les infimes activités des protéines (donc de l’ADN) sont effectuées, ainsi que la synchronisation. La présence d’eau dans le milieu intra- et extracellulaire joue ici un rôle crucial dans la propagation et l’amplification des ondes.

 

Tout système vivant cherche à établir un état d’énergie libre minimale : il essaye d’obtenir une cohérence parfaite, état optimal entre le chaos et l’ordre. Une perturbation de cette cohérence, par des minuscules fluctuations d’énergie comme en cas de stress, entraînera une émission accrue de photons, comme un mécanisme de compensation visant à faire cesser ce dérangement et à trouver une sorte d’équilibre énergétique nouveau avec le champ énergétique quantique. La situation de santé optimale est celle qui émettra la lumière la plus faible, preuve d’un état le plus souhaitable, l’état zéro.

 

La santé est donc un état de parfaite communication subatomique, caractérisé par une faible émission de photons et un haut degré de cohérence. Chaque perturbation de cet état entraînera une émission accrue de photons. Un état de maladie indique alors une perte de communication. Lorsque nos ondes ne sont plus « en phase », la maladie s’installe.

 

Les substances considérées toxiques pour l’organisme sont des produits capables de déranger cette émission photonique. D’autre part, les substances bénéfiques pour l’organisme telles que les herbes et les extraits végétaux possèdent le pouvoir de corriger l’émission photonique entraînant une amélioration de la communication avec le reste de l’organisme.

 

 

Communication cellulaire :

 

 

Des vibrations photoniques dans l’organisme amènent les molécules à vibrer et à créer leur propre fréquence personnalisée, une signature qui agit comme sa force motrice unique et également comme son moyen de communication. Elles représentent les signaux moléculaires et la manière dont les cellules communiquent entre elles. De toute façon, les molécules doivent se parler entre elles dans quelque domaine de la vie que ce soit. En cas d’excitation, les surrénales produiront d’avantage d’adrénaline, une substance qui à son tour, devra envoyer à des récepteurs spécifiques le message de faire contracter le coeur plus vite. Si chaque molécule est dotée de sa propre fréquence, son récepteur (une molécule possédant un spectre correspondant de caractéristiques) se synchronisera sur sa fréquence, au même titre qu’un diapason qui vibre amène un autre à vibrer à la même fréquence. Les molécules entrent en résonance, la vibration de l’une est donc renforcée par celle de l’autre pour vibrer à la même ou presque la même fréquence.

 

Dès que 2 molécules, vibrant à la même longueur d’onde, entrent en résonance, elles entrent aussi en résonance avec d’autres molécules de la réaction biochimique. Ces 2 molécules créent ensuite ensemble une autre fréquence, qui entrera en résonance avec la ou les molécules suivantes, à l’étape subséquente de la réaction biologique. Ceci peut expliquer pourquoi d’infimes modifications dans la fréquence d’une molécule, telle qu’une peptide comme enzyme catalytique, auraient un effet radical sur l’action de la molécule.

 

De cette façon, une cascade d’impulsions électromagnétiques se déplace à la vitesse de la lumière. Les cellules ne sont donc pas dépendantes des idées mécaniques de Descartes (selon lesquelles il peut seulement y avoir réaction par le contact) mais communiquent entre elles avec des signaux électromagnétiques de faible fréquence (moins de 20 kHz). Les molécules communiquent entre elles par des fréquences oscillatoires. Le champ énergétique quantique crée un milieu qui leur permet d’échanger les unes avec les autres de façon non locale et quasi instantanée.

 

Nous savons tous que le cerveau est un organe électrochimique. Cet appareil électrique est responsable des différents types d'ondes cérébrales. En ce qui concerne notre ondes cérébrales, la clé de la santé (et du bonheur) est de faire en sorte que chaque onde fonctionne dans son propre contexte, son chemin, sa fréquence et à son niveau optimal : delta (0.5 - 4 Hz), thèta (4 à 8 Hz), alpha (8 à 14 Hz), bèta (14 à 38 Hz) et gamma (38 à 80 Hz, bien qu'une fréquence de 40 Hz soit la plus courante).  

 

La biologie est donc un processus quantique. Tous les processus corporels, y compris la communication entre les cellules, sont déclenchés par des fluctuations quantiques.

 

Si notre organisme vivant se résume à des particules chargées qui interagissent avec un champ, envoyant et recevant de l’information quantique, on peut se poser la question où nous finissons et où le reste du monde commence.

 

 

 

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